PULPSAVE, la naissance du projet
D'où est venue cette idée de tester la Pulpotomie comme traitement endodontique permanent ?
Parti d’une réflexion autour de résultats issus de nos travaux de recherche fondamentale, de discussion sans fin avec le Professeur Anthony Smith et le Professeur Ariane Berdal, il fallait oser pour transposer ces résultats en une hypothèse dite « hypothèse nulle ».
Après une première étude prospective sur une vingtaine de cas publiée en 2013, les résultats préliminaires ont permis d’asseoir et de justifier le passage à un cran supplémentaire (Simon et coll. IEJ 2013).
Le défi était lancé et le projet a été soumis pour une demande de financement dans le cadre d'un appel à projet PHRC National, et accepté en décembre 2014.
La quantité de travail qui a suivi cette annonce était difficile à anticiper. C’est alors que l’équipe de l’URC de la Pitié Salpêtrière a dévoilé son efficacité. Les réunions se sont enchaînées, et la préparation du projet aura demandé plus de 18mois. Le premier centre (La Pitié Salpêtrière) a ouvert le 06/09/2016.
Aujourd’hui, je mesure à titre personnel le chemin parcouru, et à quel point il n’aurait pas été possible de franchir tous les obstacles sans une équipe que je remercie vivement. Maintenant que les inclusions vont commencer, l’équipe va s’élargir : les investigateurs principaux des 7 autres centres vont entrer en scène. Nassima SCHMOLL, notre ARC dédiée de la DRCD prend la suite de Karine MARTIN, la CEC qui nous a aidé à passer les étapes, toujours avec le sourire…
Quelque soit le résultat final, nous aurons au moins eu le mérite de tester notre hypothèse. Dans deux ans, les résultats nous permettront de dire si l’hypothèse nulle « la pulpotomie donne d’aussi bons résultats que le traitement endodontique » est vérifiée … ou pas.
Merci à tous ceux qui ont participé à la mise sur pieds de ce PHRC PULPSAVE, merci à tous ceux qui vont permettre de le faire vivre et participer à l’évolution de notre discipline.
A dans deux ans pour les premiers résultats.
Stéphane SIMON
Université Paris Diderot
Investigateur principal et porteur de l’étude.
Parti d’une réflexion autour de résultats issus de nos travaux de recherche fondamentale, de discussion sans fin avec le Professeur Anthony Smith et le Professeur Ariane Berdal, il fallait oser pour transposer ces résultats en une hypothèse dite « hypothèse nulle ».
Après une première étude prospective sur une vingtaine de cas publiée en 2013, les résultats préliminaires ont permis d’asseoir et de justifier le passage à un cran supplémentaire (Simon et coll. IEJ 2013).
Le défi était lancé et le projet a été soumis pour une demande de financement dans le cadre d'un appel à projet PHRC National, et accepté en décembre 2014.
La quantité de travail qui a suivi cette annonce était difficile à anticiper. C’est alors que l’équipe de l’URC de la Pitié Salpêtrière a dévoilé son efficacité. Les réunions se sont enchaînées, et la préparation du projet aura demandé plus de 18mois. Le premier centre (La Pitié Salpêtrière) a ouvert le 06/09/2016.
Aujourd’hui, je mesure à titre personnel le chemin parcouru, et à quel point il n’aurait pas été possible de franchir tous les obstacles sans une équipe que je remercie vivement. Maintenant que les inclusions vont commencer, l’équipe va s’élargir : les investigateurs principaux des 7 autres centres vont entrer en scène. Nassima SCHMOLL, notre ARC dédiée de la DRCD prend la suite de Karine MARTIN, la CEC qui nous a aidé à passer les étapes, toujours avec le sourire…
Quelque soit le résultat final, nous aurons au moins eu le mérite de tester notre hypothèse. Dans deux ans, les résultats nous permettront de dire si l’hypothèse nulle « la pulpotomie donne d’aussi bons résultats que le traitement endodontique » est vérifiée … ou pas.
Merci à tous ceux qui ont participé à la mise sur pieds de ce PHRC PULPSAVE, merci à tous ceux qui vont permettre de le faire vivre et participer à l’évolution de notre discipline.
A dans deux ans pour les premiers résultats.
Stéphane SIMON
Université Paris Diderot
Investigateur principal et porteur de l’étude.